Communiqué de presse - Colloque international
Les maladies vectorielles sont au coeur des préoccupations de santé publique. L’évolution rapide des vecteurs de maladies, comme les moustiques, les culicoïdes, les tiques ou les insectes phytophages, nécessite des réponses rapides et efficaces....
En savoir plus

Saisie par le ministère de la Santé en mai dernier, l’agence a repris dans sa réponse les conclusions d’un groupe de travail « Vecteurs » mis en place auprès d’elle et composé d’experts au niveau national dans une série de domaines ayant partie liée avec la lutte antivectorielle. Après avoir décliné plusieurs considérations portant sur les méthodes et objectifs de la surveillance entomologique, sur l’harmonisation des procédures de LAV au plan national, sur la coordination des interventions, toujours à l’échelle du pays, sur la prévention de l’émergence de résistances et sur l’exigence auprès d’opérateurs privés du respect des mêmes normes que celles prises en compte par les opérateurs publics, le groupe de travail, et après lui l’ANSES, conclut ainsi : « Les experts (…) recommandent (…) ‘’de veiller à préserver les compétences, le savoir-faire et la réactivité développés par les opérateurs publics en matière de LAV et de surveillance entomologique’’ ». Ceci pour assurer leur stabilité au service de leur objectif d’intérêt général.